Le blog est finit, enfin apparament, car le site est là les enfants

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Test : Kameo : Elements Of Power

Kameo est l’un des jeux du line-up de la Xbox360, et sans doute encore aujourd’hui l’un des plus impressionnant…

Le 2 décembre 2005 sortait la Xbox360, pour l’accompagner Kameo était de la partie,
Initialement prévu sur GameCube puis ensuite sur Xbox après le rachat de Rare par Microsoft c’est finalement sur Xbox360 que sortira Kameo : Element Of Power, on pouvait donc craindre le pire….
Voyons tout de suite ce qui l’en est réellement !

La première chose que l’on remarque dans Kameo, c’est qu’il est magnifique!!
C’est coloré, ça à de la vie, le monde est féerique… Bien sur il y a encore des « traces » de son développement sur Xbox ! Mais ça ne gêne pas vraiment, à part peut-être les plus exigeant d’entre vous.
Autre aspect excellent du soft est qu’il peut afficher des centaines d’ennemis à l’écran, et ceux sans ralentissement !
Globalement, il ne souffre pas de son développement plutôt « mouvementé », une de nos craintes en moins !
Mais il est clair que l’aspect féerique et enchanteur de l’univers de Kameo ne plaira pas à tous ! Là encore vous êtes prévenus.


Les musiques qui accompagnent le jeu sont également exceptionnelles !
Elles permettent de mieux nous plonger dans l’univers de Kameo !

Mais tout n’est pas tout si bon dans Kameo….
Il faut par exemple retenir que sa durée de vie est très courte, entre 8 à 10 heures si vous voulez seulement traverser le jeu ; Entre 10 à 15 heures si vous voulez le finir à fond ; et quasi-infini si votre objectif est de détrôner le premier mondial…

Oui car dans Kameo il y a un classement mondial qui se fait en fonction de vos points gagnés lors des différent niveau de Kameo, points que vous gagnerez en abattant les monstres avec vos différentes transformations, vos différents multiplicateurs (que vous obtiendrez en combat), vos réflexes etc…

En parlant de transformations, il y en a 10 au total que vous obtiendrez au fur et à mesure de votre progression. Ces transformations sont également améliorables grâce aux fruit dispersés dans le monde de Kameo d’ailleurs tous les récupérés est un défi en plus que propose Kameo et qui n’est pas si simple.
Cela offre un gameplay très riche, encore un bon point.

Mais là encore, la caméra ne se place pas toujours comme il faut bien que l’on peut la placer comme bon nous semble à l’aide du Joystick droit c’est tout de même parfois gênant…
A noter également que prendre parfaitement le jeu en main et maîtrisé toutes les transformations possible demandera un petit temps d’adaptation !

Mais Kameo ne s’arrête pas là car il propose également un mode Coopération jouable en local (deux joueurs sur la même console) et depuis peu Online !
Mais malheureusement le mode coopération, n’apporte pas grand-chose si ce n’est quelques succés à débloquer…En résumé Kameo est une très bonne surprise, voire même une excellente surprise !
En alliant beauté visuelle et gameplay novateur on obtient là un excellent titre !
Malheureusement quelques petites imperfections entâche ce titre, qui malgré cela reste l’un des meilleurs du line-up de la console et même l’un des meilleurs jeux de la console tout court.

Test : Perfect Dark Zero

Perfect Dark Zero, est la suite du mythique Perfect Dark paru à l’époque sur N64 c’est avec grande impatience que les fans attendaient cette suite…
Alors déception ou joie ?

Devrais-je rappeler ce qu’était Perfect Dark ? Ce FPS culte paru sur N64 ?
Je ne crois pas, tant ce jeu à marqué de personnes !

Le 2 Décembre 2005 est sortit Perfect Dark Zero, un jeu que beaucoup attendaient au tournant et surtout avec impatience !

Alors, commençons :


Lors des premières minutes de jeu, le premier regard se pose bien sur la qualité graphique du titre…
Eh bien tout de même, petite déception… c’est beau, même très beau par moment mais rien de vraiment transcendant, il faut tout de même admettre que certains niveaux sont très beaux et les explosions impressionnantes !
Le passage à la next-gen se fait bien sur évident, mais on s’attendait à mieux…
Le style graphique se veut différent, mais ça ne passe pas réellement, dommage.

Côté scénario il faut savoir que cette suite n’en est pas vraiment une, en effet Perfect Dark Zero se déroule avant Perfect Dark !
Mais malheureusement là encore, le scénario est très classique et est très prévisible !
En tout cas le scénario n’est pas très intéressant…Ce n’est pas ce qui vous raccrochera au solo, qui est d’ailleurs très décevant lui aussi.

Pour continuer dans la lignée des défauts il faut noter que vos ennemis sont aussi intelligents qu’une moule ou une huître selon vos préférences. Autant dire que l’IA est ridicule, les ennemis se planquent parfois mais le meilleur reste qu’ils se mettent à recharger en face de vous sans bouger ! Oui c’est très (trop ?) décevant….

Mais alors, avec touts ces défauts qu’est ce qui peut encore nous raccrocher à Perfect Dark Zero ? Et bien là ou Perfect Dark excelle c’est bien évidemment grâce au jeu Online dont il dispose !
Jouable à 32, sans aucun ralentissement et dans de nombreux modes de jeu différent Perfect Dark Zero se dote d’un live bien fun et simple d’accès !

Quelques amis possédant le jeu ne seront pas de trop afin de pouvoir jouer avec des français… Mais il est clair que les différents modes Online dont dispose Perfect Dark conviendront à beaucoup, après la déception du solo, le jeu Online c’est avéré être une bonne surprise !
Il est également possible de jouer les modes multi seul, ou avec un ami (en local) contre des bots.

Notons aussi qu’il est possible de jouer le solo en coopération locale (deux joueurs sur la même console) et également Online (coopération via Xbox Live) encore une bonne chose, les missions sont moins ennuyante entre amis :)

L'univers des jeux video et leurs graphismes.

Un objectif parmis d'autres subsiste dans la tête des créateurs de jeu, et des ambitions des joueurs : les graphismes.

En effet, certains développeurs/éditeurs ne pensent plus qu'à donner une grosse claque aux yeux aux petits joueurs, petits oui, car on peut dire que toute cette histoire de graphismes arrive à un intérêt quasi total pour ce genre de joueurs laissant de côté au premier moment l'intérêt du jeu. Certes les graphismes apportent une immersion plus ou moins profonde, mais il ne doivent pas barrer la route aux autres choses comme la jouabilité, le multi etc... Mais revenons aux créateurs dans tout ça... Mon dernier et rare coup de gueule était à l'annonce de Call Of Duty 3, le 3eme volet de la série des jeux de guerre d'Activision, qui montrait un trailer, plus que visiblement précalculé.
Call Of Duty n'offre presque aucune originalité : toujours la Seconde Guerre mondiale, toujours les mêmes histoires, presque aucune innovation mis à part la possibilité de détruire tout, mais ça c'est pas eux qui l'ont inventé non plus... Et que voit-on dans les magnifiques images du jeu ? La réponse est dans ma phrase, des magnifiques graphismes, quelque chose d'autre ? heu non.

Voilà pour cette partie de mon article, passons maitenant aux univers de jeux video, qui concerne aussi cette obstination de s'approcher toujours du réel.

Réalité, réalité, réalité, voilà ce que veut dire graphismes pour certaines personnes. Ne pensez vous pas que tout ceci peut arriver à une sorte de coincement entre la réalité et le virtuel, qui arrêterait de nous faire rêver?

Certains gens comme moi, jouent aussi dans le but de se transporter dans un autre monde, un monde où son imagination se déchaîne, une sorte de rêve devant une console, un pc, un écran... Eh bien, si cet univers était remplacé par des graphismes plus vrais que nature, je ne parle pas de l'expression pour qualifier des beaux graphismes photoréalistes, mais d'images de consoles qui ressemblent en tout points à ce que nos yeux voient. A ce moment je pense que si ces jeux prennent le haut du top des ventes, les petits jeux, jolis, relaxants et agréables à l'oeil comme "Viva Piñata!", "Kameo" et autres n'auraient plus raison d'exister.
On peut constater ça déjà même avec "Perfect Dark Zero", ses graphismes Old School ne plaisent vraiment pas à tout le monde...

Exemple : Vous venez de vous faire plaquer par votre conjoint(e), un de vos potes redouble, un autre déménage, votre grand père est mort ( je fais fort je sais ), vous avez envie de jouer un bon coup pour vous éloigner de toutes ces peines : pour changer de monde. Arrivé(e) devant votre console candencée à 700 tétra hertz, vous l'allumez... Puis bizarrement vous ne vous sentez pas déplacé(e), pas dans votre petit monde, pas dans votre ferme à piñatas. Pourquoi ? Simplement parce qu'il n'y a pas de grandes différences entre le réel et le virtuel, à part vous même ( votre personnage ).

Je pense que la beauté ne serait plus dans le vocabulaire du jeu video si jamais le graphisme arrive à ce point, et à ce moment là, je n'acheterais plus les nouvelles consoles.

Certes vision pessimiste mais peut-être réele...

Alors quelle est la cause de toute cette obstination ?
Selon moi, excusez-moi de ma réponse, mais c'est la mienne, et j'y crois. Je pense que l'origine est due à l'annonce bidon de la Ps2 : promesses de graphismes hallucinants plus réels que les films d'annimation, des rendus encore jamais atteint... Après la sortie, tout un tas de moutons, les yeux remplis de mensonges vidéoludiques ont étés recensés. Une fois que ceux-là se sont rendus compte qu'ils n'avaient pas ce qu'ils attendaient et qu'ils attendent encore, ils se sont tournés vers les autres constructeurs, et le seul qui montrait des graphismes meilleurs que ceux de la Ps2 : Microsoft. La firme du grand Bill Gates, pour garder son public, s'est lancée à son tour dans cette course aux graphismes, suivie des créateurs, suivis des petits joueurs...

Merci Rare...